
Un jour, je tomberai tous les masques et je crierai : je m’adore. Sans rire. Un jour, je prendrai cette chose très au sérieux. Mais là, je regarde un oiseau ivre dans le ciel bleu. Ivre de vol. Je m’adore, c’est sûr. Je ne l’ai pas lu dans les livres. Pas de bol. La graine est là, en terre, c’est l’hiver, encore heureux, c’est pas mûr. Pour le moment, j’erre, j’explore toutes les versions de l’échec pour être sûr.