Tu dis c’est fort ou c’est fragile sans connaitre. Tu le dis par reflexe, par habitude, poussé par les on-dit.
Tu devrais te taire.
Et vivre le silence fracassant qui suit à son début.
Qui brise toutes les murailles par sa fréquence assourdissante.
Et te laisse là éventré, ébloui, tout en même temps.
Enfin prêt à rebattre toutes les cartes et les redistribuer
La dernière étape est de repousser la pensée pour laisser le souffle aller.
Sans même y penser.
Huile sur toile Patrick Blanchon