Vers la quarantaine, un petit bout de glace enfoncé dans l’œil. Cette méfiance d’admirer. Sans doute après avoir trop abusé. Où positionner ce foutu curseur… il y a des curseurs à tout, ça ne vous a tout de même pas échappé… comme cette obsession de précision, la vénération du détail, non plus bien sûr. Que peut-on admirer ainsi avec cette peur d’admirer trop ou pas assez…admirerait-on pour le clamer le plus admirablement possible…ou bien est-ce une veine neuve à creuser en silence. Il faudrait se souvenir d’un cul, admirer un beau cul, toujours avant d’ouvrir la bouche. Avant de transformer l’admiration en malentendu.