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rubrique traduction / le 12 août 2025.
*Cette rubrique explore l’art et les enjeux de la traduction littéraire à partir d’auteurs tombés dans le domaine public. Point de départ : la phrase de Lovecraft, sa densité, son étrangeté presque rébarbative. De là, la série s’ouvre à d’autres voix — Ambrose Bierce, Clark Ashton Smith, Robert W. Chambers… — souvent mal ou peu traduites en français.
Chaque article s’appuie sur un extrait en version originale, suivi d’une traduction littérale, puis d’une traduction retravaillée. Le lecteur est invité à entrer dans l’atelier du traducteur : hésitations lexicales, choix de rythme, fidélité au texte ou adaptation à la langue d’arrivée.
Pour moi, traduire est aussi un geste intime : accueillir une voix étrangère comme on accueillerait un dibbouk. La laisser entrer, se laisser habiter par ses images, son souffle, sa cadence, puis la guider pour qu’elle prenne forme dans ma langue. Traduire, c’est donc écouter un fantôme et lui prêter mes mots pour qu’il puisse, encore une fois, parler.*
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