
Il faut que la voix meurt pour que l’écho naisse.
Et des falaises de granit et de hauts murs de craie
pour se renvoyer à l’infini la balle
Sans doute aussi une certaine qualité de l’air
Et des oreilles tendues bien sur
il y en a toujours quelques unes par ci par là.
Et quel mystère si
tout ça, ici et là
ne tombe que dans l’ouïe d’un lièvre
sous le sabot d’un âne.