Entre les deux toujours mon cœur balance. Plutôt ma tête. Le doute dans ma tête toujours lui, le diable de doute. Mais de temps à autre je sens que j’ai une petite chance alors je fonce tête baissée. Dans l’ivresse comme dans l’abstinence. Car il faut de chacune explorer l’étendue, apercevoir l’illimité, s’en réjouir comme s’en effrayer. Peut-être est-ce à partir de là que le cœur peut peser chacune de nos actions bien mieux que peuvent les autruches peser icelles en iceux.