Que la violence du désir soit tellement forte, irrépressible, qu’on puisse soudain l’observer quand elle s’envole ainsi dans l’air comme un tourbillon de feuilles qui n’en finit pas.

Et maintenir néanmoins la quiétude.

Rester baba face à cela et ce même en partage, encore en paix profondément.

L’intenable enfin tenu.

Il en faut des pesées pour connaitre le scrupule comme l’art d’équilibrer les fléaux.

Et s’en aller son chemin sans la tristesse à ses cotés.