Peut-être que c’est juste un passage obligé, un goulot d’étranglement, un boyau, il faut se plier parfois aux circonstances. On croit savoir tant de choses, mais doit-on les expliquer dans le menu, on se rend compte alors de la confusion dont est faite notre clarté. C’est pourquoi régulièrement, je repasse par le boyau, je me plie en quatre, je me fais le plus petit possible pour m’y introduire de nouveau. J’oublie tout ce que je sais sur la couleur un instant et j’essaie ensuite de me l’expliquer le plus clairement que je le peux.
Il y a donc au début trois couleurs qu’on est obligé d’acheter dans une boutique, on ne peut pas les obtenir autrement etc etc ...