Le Dibbouk, démon issu de la tradition juive, prend possession des corps pour accomplir des destins inachevés. Dans ce même esprit, ce site explore les hantises, les obsessions et les zones d’ombre qui habitent l’écrivain. À travers des récits fragmentés, des journaux littéraires et des réflexions philosophiques, "Le Dibbouk" offre une plongée dans des textes où fiction et réalité se brouillent, invitant le lecteur à affronter ses propres démons intérieurs.
Les jugements intempestifs pullulent ces jours-ci. Sans doute depuis toujours, mais ils deviennent de plus en plus grotesques ces jours-ci. Ce qui est aussi un jugement intempestif. Et vu depuis (…)
D’habitude, ça ne dure pas. Une accélération cardiaque. Une bouffée de chaleur. Un vertige. Quelques secondes d’attente, et ça passe. Mais depuis dimanche, tout semble s’emballer. Les incidents se (…)
Passage ce matin sur Le Cavalier des touches et lecture de Je viens de perdre un ami, un texte de 2014. Ça fait remonter des souvenirs. Et ce fantasme, toujours là, qu’une amitié puisse être « (…)
Le soleil luisait, les oiseaux gazouillaient, l’air était empli de parfums printaniers. Une phrase banale, lue quelque part, reprise ailleurs, comme un motif qui se perd. Elle se réécrit, se (…)
sous ce terme de carnet, des billets écrits au jour le jour depuis 2018 sur deux blogues que je rapatrie peu à peu.
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