Visite du site de M.B. Construit avec Spip. Thème : The-Morning-After indisponible. Le problème de la mise en page de sommaire.html peut se régler avec l’utilisation d’un thème que l’on peut adapter à ses besoins. Problème : quand Spip évolue, les thèmes ne suivent pas toujours. Créer son propre thème s’avère donc plus fiable.

Deux façons de voir cette problématique de l’accueil. Si site local, une interface basique, facile à reparamétrer. Il n’y a que moi qui peut y aller, pas besoin de déco ou de fioriture. Si site distant, la perception des visiteurs peut être variable.

Questions :

Qu’est-ce que j’appelle mise en page pour la page d’accueil d’un site distant ?
compréhensible tout de suite
navigation simple
cohérence du contenu
Ce qui m’amène à réfléchir sur la notion d’arborescence : rubriques, sous-rubriques, articles, mots-clés.

utilisation de balises efficaces (#) et (|)
création éventuelle de sous-domaines, par exemple :
peintures.nom de domaine / blog.nom de domaine / photographies.nom de domaine
Toujours très embrouillé sitôt qu’il s’agit d’impératifs. En fait, une panique. Tellement habitué que l’on ne s’en rend même plus compte. C’est que l’ordre provenant de l’extérieur est insupportable à une volonté peu claire provenant de l’intérieur. Sans chaos intérieur, il n’y a pas de nécessité d’ordre. L’ordre extérieur ajoute au chaos intérieur par le fait qu’il semble toujours imposé. C’est un point de vue. Pas d’amour, pas de confiance, pas d’espoir. Un point de vue de désespéré.

Préférer être désespéré qu’espérer n’importe quoi pour ne pas l’être. Le désespoir est un espace comme un autre. On fait avec, on peut le subir, puis l’examiner, aller dans tous les recoins, déposer du gros sel, se dire qu’un démon fausse notre vision. S’auto-exorciser. Éviter ensuite de partir dans le sens contraire. Devenir ravi.

L’entre-deux, la passerelle, le pont. Surprise en recevant les enfants mardi dernier. Ils comprennent 5/5 l’idée que chacun, le peintre comme le spectateur, a son rôle à jouer pour construire l’entre-deux, le pont.

Toujours pas rappelé W. Interrogations multiples concernant les raisons pour lesquelles je l’appellerais. Elles ne sont pas bien claires, soit je me réfugie dans la naïveté, soit dans une lucidité effroyable. L’entre-deux ne me manque pas pour rien. C’est un fait. Je ne crois pas à la simplicité, à la spontanéité. J’y crois sur le moment comme un enfant, puis je reprends ma pelisse de loup, je m’enfonce dans la forêt. Penser au renard susceptible de se rogner lui-même une patte quand il est pris au piège.