Réveil vers deux heures. Reprise du code en local. Peut-être que, finalement, tout ne doit pas être "justifié", notamment dans les descriptions des cartes. Petit clin d’œil à D.H. Ensuite, pas mal de galères pour installer le build Tailwind correct : la dernière version a trop de bugs. Le *output* se trouve dans le répertoire `dist`, le *input* dans le `rc`, le fichier `config.js` à la racine du site.

À peine le temps de lever la tête, d’aller me faire un café, qu’il était déjà quatre heures. Puis, assez vite, la vidéo journalière de F. Me suis rendormi vers six heures pour me relever à huit. Ensuite, cours jusqu’à midi. S. a pris la Dacia pour aller à RDG : spectacle enfant, puis adulte, jusqu’à pas d’heure. Appel dans l’après-midi : seulement cinq réservations.

Mangé une tartine beurrée, bu un café, reparti vers l’association jusqu’à dix-sept heures. Parti à pied, car impossible de démarrer la Twingo, qui était sur la réserve. Il faut voir dans la remise si j’ai des jerricans de cinq litres pour aller chercher du 95 demain. J’espère que ce n’est que ça.

S. part une semaine à Paris, car M. part en formation. Elle appréhende de s’occuper de MX : il a encore refait le coup de se rouler par terre pour ne pas aller à l’école. On cherche. Peut-être une école pour "gros", un psy… S. est psy, ça devrait aller. Si elle ne s’énerve pas. Gros à parier que si.

Peut-être que l’expérience de lecture des carnets de HPL avec F. m’apprend quelque chose. Des notes très courtes, cryptées. Pour soi. Pourquoi continuer à publier, dans ce cas ? Pour le rythme ? Pour ne pas perdre le rythme. On s’accroche à un rythme, difficile de le changer ?

Pas de littérature dans ces carnets. Je l’ai déjà dit. Il faut se concentrer sur la fiction, je me dis. S’évader dans la fiction. Moins facile. Il faut beaucoup réécrire, pouvoir dire les phrases à haute voix, voir si ça sonne. Et plus je réécris, plus cela devient un véritable casse-tête, exactement comme ce code Tailwind que je compile et recompile sans arrêt.

Je vide quelque chose avec ces phrases courtes. Hachées. C’est une purge. Une façon de faire place nette. Avant.

Peut-être un préalable. Une étape nécessaire. Comme un moteur diesel. Il faut attendre que tous les voyants s’éteignent avant de tourner la clef de contact.

Rien d’autre ne m’intéresse. Alors je vais boire un café, manger un morceau. Puis revenir devant l’écran. Voir ce qui arrive. Et m’y accrocher fermement.

En passant j’ai découvert le modèle de génération d’images qui remplace désormais Dalle3 sur ChatGpt. Je lui ai demandé de me faire un visuel à partir de ma page d’accueil. Comment améliorer ? Sidération.