On nous a volé la mer

La chienlit des vœux est de retour . Et il faut évidemment chausser un casque de spéléologue pour aller au contact du filon…trouver les meilleures pépites. Comme si y en avait de plus bonnes que d’autres.

Bonne santé, plein de sous, de travail, d’amour, plein de ceci où cela …comme si on déterrait tout ceci cela à la pelle pour s’imaginer nimbé de béatitude en train de distribuer des offrandes à la Providence.

Admettons.

On pourrait longtemps disserter.

Mais des fois on peut aussi se dire que les clichés sont fait pour régler ce genre de problème.

Dire bonne année ou meilleurs vœux, pénétrer dans la grande partouze votive du jour de l’an. Plein de desiderata ! jouissez bien !

etc.

Et puis rentrer ventre à terre dans son terrier comme Jeannot lapin l’œil hagard les moustaches tremblantes toutes noreilles en arrière version aérodynamique.

Des fois oui les plus courtes sont les meilleures, surtout le 1er de l’an.