Rien, de la ville, le trajet à pied, la découverte de la nouvelle place de la Bastille, rien, du musée, ses boutiques, sa signalétique, rien n’est plus familier.
Tous les classiques pas mieux. Resté un long moment à m’absorber dans la texture d’une étole. Un portrait de Ingres. Et comme on croit reconnaitre d’anciennes amours au coin d’une rue et qui bien sûr se dissipent, ces petits tableaux sur bois, très émouvant ces peaux grises et vertes dans les salles italiennes. Une enfance de l’art. Mais trop déjà.
Se sentir exclu d’une familiarité, rien de nouveau.
Alors que débarquant dans la ville inconnue il y a loin, elle m’était reconnaissable de l’avoir rêvée.
Le pas est moins rapide, au bout de deux heures l’oeil saturé je déclare forfait. Nous ressortons, la place est inondée de chinois, de japonais. Un ciel bas. Vu soudain une coque de smartphone vert Veronese.
Retenu que la Liberté guidant le peuple n’était pas disponible car en restauration…