
Plan de ma journée d’hier
Réveil :
7h
Café, trois tartines beurrées
Prise de mes deux cachets : l’un pour la tension, l’autre contre le mauvais cholestérol
Matinée :
Tentative de refondre la page d’accueil de mon site, qui ne me convient plus. J’ai jugé que la présentation actuelle manquait de clarté et d’attrait, notamment en ce qui concerne l’organisation des rubriques et l’équilibre entre texte et images.
Tentative de refondre la page d’accueil de mon site, qui ne me convient plus.
Rédaction d’une nouvelle page sommaire :
Ajout d’un édito
Intégration de brèves
Inclusion de thématiques sur la littérature contemporaine, notamment l’autofictif.
Lecture :
Quelques passages de Meurtre de D. Collobert.
Feuilleté La règle du Je de Chloé Delaume (PUF) : « Refuser les fables qui saturent le réel ».
Recherche :
Consulté le site de F.B. pour tout ce qui concerne l’autofiction. J’y ai trouvé des pistes intéressantes, plusieurs vidéos étaient indisponibles- Ce qui m’a fait songer au temps d’existence des objets numériques ce qui m’a conduit à m’interroger sur l’évolution des thématiques en général. Qu’est-ce qui restera actuel encore dans cinq ans par exemple.
J’ai plus trouvé d’entrées sur l’autobiographie que sur l’autofiction.
Déjeuner :
Salade iceberg et betteraves rouges
Paella congelée
Après-midi :
Départ pour Saint-Donat à 13h
Arrivée à 14h, allumé tous les radiateurs (4° selon mon téléphone).
L’après-midi a été consacrée à résoudre des problèmes logiques concernant la mise en page briguée, une idée inspirée par la page d’accueil de EAN ou encore par la revue ERROR. Cette recherche visait à définir une structure claire et élégante pour aligner mon projet sur les codes des revues contemporaines. Découverte que je pouvais installer Koder sur la tablette et voir le résultat de mes tripatouillages sur Chrome en direct.
Entre 14h et 16h :
Pas vu de monde. Pas un chat.
Résolution de problèmes logiques sur la mise en page briguée – inspirée par la page d’accueil de EAN ou par la revue ERROR ?
Réflexion sur une grille semblable à un jeu de go (je de go, je dégoût).
16h :
Arrivée de G, l’ami peintre, 79 ans, emmitouflé jusqu’aux oreilles avec un fichu de grand-mère.
Décrochage : plusieurs allers-retours entre le palais Delphinal et le parking en luttant contre la bise glaciale.
Troc entre peintres :
Il a choisi un paysage de forêt tordue à la Soutine.
J’ai pris un sous-verre représentant un paysage fantasmagorique, évoquant selon l’humeur : les Highlands d’Écosse, un coin du Morbihan en Bretagne, ou les environs de Galway en Irlande.
17h :
Fermeture des portes.
Retour entre chien et loup.
Soirée :
Écoute de France Culture :
Emission sur la nuit, le SAMU social.
Réflexion sur l’importance des lumières artificielles pour que la nuit ressemble au jour d’un point de vue démocratique et légal.
Zones où l’on ferme les yeux faute de mieux.
Pensée finale : la chance de pouvoir fermer les yeux, quand on y pense.